Quand les technologies de l’information sont utilisées pour harceler, humilier, menacer ou embarrasser une personne, c’est du cyberharcèlement.
Voilà la définition de cette notion.
Que le préjudice proviennent des réseaux sociaux, de blog, de messageries ou autres, l’utilisation du numérique à des fins néfastes envers une autre personne est répréhensible légalement et moralement.
SmarTeen, c’est une solution pensée pour la parentalité numérique. En prônant l’absence de réseaux sociaux, en adaptant le temps d’écran aux âges des utilisateurs ou encore en offrant une navigation internet ultra-sécurisée, le smartphone SmarTeen propose de nombreuses solutions pour protéger les adolescents et pré-adolescents du cyberharcèlement.

Comment définir le cyberharcèlement ?
Le cyberharcèlement se caractérise par plusieurs aspects.
Effectué sur le numérique, notamment à travers les réseaux sociaux, les formes qu’il peut prendre sont variables :
- messages insultants
- incitation à la haine
- partage d’informations personnelles
- publications sans consentement de contenus photos ou vidéos
- envoi répété de contenus
- piratages de comptes & arnaques
Toutes ces actions menées de manières continues et répétées qui vont avoir un impact sur la victime, constituent du cyberharcèlement. Et les impacts aussi sont nombreux. Qu’il s’agisse d’isolement, de marginalisation, de dégradation physique ou moral, ou de tentatives de suicide, le cyberharcèlement se définit également par ses conséquences sur ceux qui en sont victimes.
Définir le cyberharcèlement c’est mesuré son ampleur, parfois cachée, et qui s’appréhende difficilement notamment quand les victimes sont de jeunes adolescents.

Les filles, principales victimes du cyberharcèlement
58% des filles de 15 à 25 ans ont été victimes de cyberharcèlement selon une étude de l’UNICEF. Violences de genre, stéréotypes masculinistes, harcèlement moral et sexuel, les jeunes adolescentes restent les plus fragilisées face aux risques du numérique.
Et cela de plus en plus tôt. Dès le collège, près de 60% des adolescents interrogés sur leur exposition au cyberharcèlement sont des jeunes filles.
Une protection légale nécessaire, même si insuffisante
Deux textes juridiques viennent baliser le cadre de protection contre le cyberharcèlement. La loi du 04 aout 2014 est renforcée par un texte du 03 aout 2018. Ces deux textes prévoient un emprisonnement de 1 an ferme assorti d’une amende de 15 000 €.
Quand près de 58% de cyberharceleurs récidivent il est important de renforcer ce cadre législatif. Les plateformes sont amenées à prendre leurs responsabilités également et conduites à supprimer les contenus indexés comme harcèlement. Pour exemple, fin 2022, plus de 8% du contenu supprimé sur YouTube était caractérisé comme harcelant une ou plusieurs personnes.
La prolifération des comptes d’enfants influenceurs, comme nous avons pu le voir dans un précédent article, vient appuyer le risque et la fréquence de possibles cyberharcèlement. Rappelons un chiffre, 28% de collégiens en France ont déjà été victimes de cyberharcèlement en 2024.

Comment lutter contre le cyberharcèlement :
SmarTeen, le smartphone éducatif et sécurisé
L’idée du SmarTeen est naît chez nos fondateurs après que ceux-ci est vu passé des vidéos d’enfants dansant sur TikTok et les commentaires, peu élogieux, qui étaient laissés.
Protéger les jeunes des risques du numérique est la mission principale du smartphone éducatif et sécurisé.
Contre le cyberharcèlement, notre solution clé en main repose sur trois principes clairs :
- absence totale des réseaux sociaux
- adaptation du temps d’écran selon l’âge
- sécurisation maximale du moteur de recherche et de la navigation web
Pour garantir la protection de nos utilisateurs, il est apparu nécessaire de pallier aux risques inhérents au numérique. Avec ses fonctionnalités, le smartphone SmarTeen est un appui aux familles qui vient rendre concret ce que pourrait être un outil de protection face au cyberharcèlement.
Si vous n’êtes pas encore titulaire d’un SmarTeen, les numéros d’urgence comme le 3018 sont des réflexes à avoir. De même que l’échange permanent entre membres de la famille ou cercle proche pour accompagner le ou la jeune victime. Des associations existent comme celle fondée par Laure Boutron-Marmion, Algos Victima.
Mais l’un des meilleurs réflexes est de mettre entre les mains des adolescents et pré-adolescents un outil qui fait de leur sécurité le maître mot. Un outil qui leur permet de gagner en autonomie et vous en confiance. Un outil qui sait responsabiliser, éduquer et protéger. Un outil comme le smartphone SmarTeen.
Découvrez SmarTeen, le smartphone éducatif et sécurisé, pensé pour les familles !
SOURCES :
- https://www.boutron-marmion.com/algos-victima-2/
- https://www.service-public.gouv.fr/particuliers/vosdroits/F32239
- https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/fiches-reflexes/que-faire-en-cas-de-cyberharcelement-ou-harcelement-en-ligne
- https://fr.statista.com/statistiques/1363401/cyberviolence-francais-plateforme/
- https://e-enfance.org/informer/cyber-harcelement/#:~:text=Le harcèlement en ligne est,à partir de 13 ans.
- https://www.francebleu.fr/emissions/les-conseils-pratiques-ici-creuse/harcelement-scolaire-comprendre-reconnaitre-et-agir-face-a-ce-fleau-9963181